On dit que tous le monde possède un sosie dans le monde. Tout le monde, même vous derrière votre ordinateur, votre voisin qui tond gentiment son gazon et probablement même les plus grandes célébrités montantes. Qui sait? Peut être qu'un jour, ce sosie, identique à vous, trouvera que votre vie semble plus attrayante? Peut être se fera-t-il passé pour vous? Regardez derrière vous... Y-a-t-il quelque chose qui vous semble louche? Vous faire extirpé votre identité est sans doute la chose dont vous avez le plus peur en ce moment non? Eh bien préparez-vous à être quelqu'un d'autre car c'est maintenant que le lying game commence.


mardi, 10 janvier 2012
J'avais toujours cru que faire semblant d'être quelqu'un d'autre était très mal. En fait, ma mère m'avait toujours dit que se faire passer pour quelqu'un que nous n'étions pas était très mal. Mais quand on nous force, les valeurs changent. Mon nom en fait, c'est Anna Elina Antonovitch. Laisser moi vous raconter ce qui s'est passer réellement.
Il y a quelques mois, j'étais encore danseuse nue dans un stripclub en Ukraine, plus exactement à Kiev. Je me démenais pour ramener du fric à ma famille. On était très pauvre et j'ai terminé ma scolarité à 12 ans. Je suis maintenant âgé de 24 ans. Je n'ai jamais vraiment rien eu pour moi. Je n'ai jamais connu la richesse ni la joie de sentir le pouvoir. J'ai toujours été soumise et pauvre. Mais ce soir là, ma vie a changée. Je dansais dans mon bar quand cinq hommes habillés en noirs ce sont approchés de ma scène. Ils m'ont invité à une table et nous avons discuté. Ils m'ont montré une photo, c'était la photo d'une magnifique jeune femme américaine avec un regard éclatant, comme le mien. Ils m'ont alors pointé une jeune femme qui était identique à moi. J'étais très surprise de la ressemblance. Ils me proposèrent 100 000$ pour prendre sa place. Mes yeux s'écarquillèrent quand je vis l'argent liquide dans la mallette de l'homme près de moi. Je commença par refuser. Les hommes pointèrent alors une arme sur moi. Ce qui me força à accepter. Je dû abandonner ma famille, mon mari et mes deux enfants. Ces cinq hommes m'arrachèrent à ma vie de misère et m'interdirent tout contact avec les gens que je connaissais. Cette opération était secrète et devait le rester. On me donna un nouveau permis de conduire, un nouveau passeport, des nouveaux vêtements et on me dit que mon nouveau nom était: Megan Denise Fox. J'étais née le 16 mai 1986 à Oak Ridge Tenesse. Je devais agir comme elle et ne révélé à personne ma véritable identité. Oublier Anna Elina Antonovitch à jamais...
Je pleurais. J'ignorais tout de la situation. J'ignorais en acceptant cette argent sale que j'étais maintenant quelqu'un d'autre.
Ces cinq hommes, s'appelaient The Lying Game. Ils refusaient de me donner leur véritable prénoms. Ils étaient un groupe de la mafia qui désiraient rendre le monde des people en chaos. Ils voulaient qu'on leur obéisse au doigt et à l'oeil. Ils nous surveilleront nuits et jours et sauront ce que nous faisons, si nous révèlons notre identitée... Qu'on effectue tout ce qu'ils nous disent. J'ignore si je suis seule dans cette affaire. J'ignore si Megan est morte. J'ignore tout. Mais ce que je sais c'est que je suis une toute autre personne maintenant.

mercredi, 11 janvier 2012
Je m’appelle… non, je m’appelais Amelia Evans. Alors qu’hier j’étais une simple vagabonde qui parcourait les rues de la ville de New York selon ses propres envies, j’étais aujourd’hui connue comme étant Nina Dobrev, une célèbre actrice américaine. Pourquoi moi? J’en avais absolument aucune idée.
Née en Bulgarie de parents qui m’abandonnèrent aussitôt dans un orphelinat, je vécus prisonnière d’un pauvre édifice brun pendant les dix premières années de ma vie. Me sentant comme une vulgaire prisonnière dans ces murs, je mis au point un plan d'évasion qui échoua pitoyablement. Ce fut mes nouveaux parents adoptifs qui me sortirent de cet enfer... pour m'amener dans un tout autre monde aussi pire. Les États-Unis. Je réussis toutefois à m'échapper de leur emprise lorsque j'atteins ma majorité. Je leur avais assez mené la vie difficile qu'ils ne se donnèrent même pas la peine de me chercher.
J’étais partie le jour de mes 18 ans, jouissant de ma liberté nouvelle en traversant la ville à la course. Jamais je ne m’étais sentie aussi bien! Mais la vie dans la rue à ses désavantages. Parfois obligée de voler ou de berner les autres pour survivre, je ne voulais tout de même pas troquer ma liberté pour une vie plus sage. Les nuits froides de l’hiver me rendaient invivable pendant cette période de l’année. Mais je vivais avec. Jamais je n’aurais cru changer aussi radicalement de mode de vie.
La luxure, l’abondance, la chaleur et un nouveau nom furent ce que me proposèrent les hommes armés qui m’approchèrent dans Central Park un de ces soirs. Attirée par cette vie de bien être, ils n’eurent pas besoin de pointer leurs armes vers moi que j’acceptai leur offre. La plus grande erreur de ma vie. Si seulement j’avais su qu’ils me manipuleraient, qu’ils m’obligeraient à adopter une nouvelle personnalité, à faire semblant vingt-quatre heures sur vingt-quatre et que je devais leur obéir au doigt et à l’œil, j’aurais préféré mourir que de les suivre. Mais comme je n’ai plus le choix aujourd’hui et que je n’ai personne qui m’attend ailleurs, je tente malgré tout de m’habituer ma nouvelle vie, celle de Nina Dobrev. Difficile de dormir la nuit en sachant qu’on vous tient en laisse comme un vulgère petit chien et que vous voulez les parents, les amis et l’amour d’une autre.

jeudi, 12 janvier 2012
Avec toute la merde que j'ai causé pendant mes 20 ans de vie, j'étais certain que j'allais terminé en prison. Mon nom à moi c'est Marshall Thomas Brown. Il y a 2 semaines de cela, j'étais encore un pauvre revendeur de drogue dans le Bronx à New York. Je n'ai jamais eu peur de rien. J'ai toujours vécu dans le ghetto faisant partit de gang à gang. Je me suis fait tirer dessus 3 fois, une fois dans la jambe, une fois dans le dos et l'autre dans le bras. J'ai faillis y rester quelques fois mais je me suis toujours venger. J'avais des potes assez influents. Vous me direz sans doute pourquoi un vendeur de drogue comme moi pouvait avoir autant de chance? J'en sais rien pour être franc. J'ai appris à vivre dans la rue, à me battre pour avoir ce que je voulais réellement. Mes parents sont mort quand j'avais à peine 10 ans. Assassinés. Mon frère était la seule personne qui me restait et il comptait beaucoup pour moi.
Vous voulez savoir comment je me suis retrouver ici hein? Un soir je faisais ma tournée de vente quand un homme ma arpenter dans la ruelle. Il m'a tendu un piège en me demandant de lui montrer mon stock. C'est à ce moment qu'ils se sont montrer. Ils étaient cinq et chacun me pointait un flingue dessus. Au début je croyais sincèrement que c'était la police mais je me suis rendu compte que c'était encore mieux que la police.
Quand ils m'ont expliquer le plan, le fait que je devais prendre la place d'un acteur connu, c'est à dire Taylor Lautner, j'avais éclater de rire. Je n'avais jamais remarquer à quel point j'étais identique à lui. Mais après une observation approfondie, c'est vrai qu'on était identique. Je n'avais pas le choix. Quitter cette merde de ghetto me rendait plus qu'heureux. Quelques bons côtés s'ajoutait à ma nouvelle vie, l'argent, la popularité, les fringues, les filles et le pouvoir. Les mauvais côtés, je m'appelais maintenant Taylor Lautner, j'avais 20 ans, je jouais dans cette saleté de Twilight et je devais faire semblant d'adorer cela. Mais le pire, c'est que ces cinq hommes m'espionne nuit et jour, ils dirigent ce que je fait et chaque décision que je prend. Ce sont eux les maître du Lying Game et même moi, un battant, j'ai peur de ce qui pourra m'arriver... Je me fais même peur parfois à adorer cette nouvelle vie...

vendredi, 13 janvier 2012
Merde, ça y est. Vendredi treize, jour tant redouté parmi les supersticieux, et moi. Ce jour est malheureusement très réputé, et je crois que ce jour est désormais maudit pour moi, Jawon Wildworth, ou plutôt devrais-je dire Zayn Malik...
Oui, c'était un jour normal où je m'apprêtais à aller dans le parc à côté du collège, jusque là rien de très stupéfiant pour un jeune homme de dix-neuf ans. Les potes m'avaient donné rendez-vous dans quelques minutes, j'étais le premier arrivé. J'avais peur qu'ils m'aient fait un faux-plan. Et, voyant des ombres s'approcher, je levai ma tête et constatai que ce n'était pas mes amis, mais plutôt cinq hommes, en costume, du genre des agents secrets, ils m'avaient pointé dessus un flingue. Je ne comprenais rien à ce qui se passait, pourquoi, comment. Je n'avais pas peur. Au début, je pensais que c'étaient des policiers mais en fait non.